Lieux-Communs
Platform for contemporary art / Platform voor hedendaagse kunst / Plattform für aktuelle Kunst / Платформа для современного искусства / 当代艺术平台 / אומנות מודרנית www.galerieshortcuts.com
vendredi 30 mars 2018
mercredi 30 août 2017
Festival d'art contemporain In Champion
Le festival d’art contemporain In Champion unit dans un événement artistique les arts visuels et
l’imaginaire littéraire. En effet, de nombreux plasticiens contemporains
nourrissent leur travail artistique d’inspirations littéraires.
Du 6 au 22 octobre 2017, In Champion met en évidence ces influences croisées entre l’art
contemporain et l’univers de la
littérature.
En Belgique et
singulièrement en Wallonie et à Bruxelles, ces liens sont historiquement ancrés
et riches à travers le surréalisme, Cobra, l’art conceptuel… et des artistes
comme Magritte, Dotremont, Alechinsky, Broodthaers.
In Champion, qui prend la forme d’une biennale, a comme cadre le village de Champion. Celui-ci
est riche d’ambiances variées, de contrastes entre un cadre resté rural et l’univers
urbain tout proche…
L’autoroute est à
proximité, les champs, les vaches, les prés sont nombreux, le village a le
château d’eau comme « phare » ...
Le Festival investit divers lieux : l’ancienne poste, l’école, la ferme du Sart,
le bâtiment Créagora, à l’architecture contemporaine audacieuse, dont la
construction vient de s’achever, les sentiers, les fenêtres des maisons privées, le
jardin de la cure, l’espace public… Il est une invitation à une balade au
rythme de l’art contemporain à travers les rues et sentiers du village.
L’événement
met en avant les créateurs de Belgique mais a également, dès sa première
édition, une programmation largement internationale avec des artistes issus de
cinq pays. Celle-ci allie des artistes ayant déjà une grande notoriété internationale à de jeunes artistes émergents…
28 artistes, dont 14
belges, participent à cette première édition d’In Champion qui peut être perçu comme le pendant francophone d’autres
festivals de ce type comme Watou.
La thématique retenue pour
cette première édition est celle de l’oxymore. En rhétorique, cette figure de style rapproche deux termes, un nom et un adjectif, que leurs
sens devraient a priori éloigner. Sous une formulation en apparence
contradictoire, l'oxymore permet de décrire une situation ou un contexte de manière singulière et inattendue, suscitant ainsi le
questionnement. Il exprime ce qui semblait
inconcevable et crée une nouvelle réalité poétique. L’oxymore permet
aussi de rendre compte de l'absurde.
De manière directe ou
encore détournée, l’oxymore apparaît au centre de nombreuses pratiques
artistiques contemporaines.
Cette thématique se veut
ouverte et n’est nullement conçue comme un carcan.
Les artistes ont donc été
invités à l’interpréter de manière parfois très
libre et singulière. Les médiums sont variés de la sculpture à la
peinture en passant par la vidéo, la photographie, les installations…
Artistes
participants : Nathalie Auzépy (F), Diane Benoît du Rey (F), Ulrike Bolenz
(D), Charlotte Burtin (F), Charley Case (B), Fred Collin (B), Gaëlle Cressent
(F), Alice Gadrey (F), Rohan Graeffly (B), Nathalie Hannecart (B), Mathilde
Klug (F), Florence Lenain (B), Mireille
Liénard (B), Ferdinand Kokou Makouvia (Togo), Ludovic Mennesson (F), Brigitte
Moulart (B), Tinka Pittoors (B), Stéphanie Roland (B), Nadège Sicard (F), Pascale
Marthine Tayou (CAM), Manon Thirriot (F), Lucille Uhlrich (F), Nathalie
Vanheule (B), Thierry Verbeeck (B), Karen Vermeren (B), Katleen Vinck (B),
Monique Voz (B) et Elodie Wysocki (F)
www.inchampion.com
vendredi 21 avril 2017
Festival des 5 saisons - Parc de Hauster à Chaudfontaine
Prenant place au cœur du parc de Hauster, le Festival des 5 saisons, créé en 2009 à
l'initiative de la Commune de Chaudfontaine, est le seul événement permanent
dédié à la création contemporaine paysagère et artistique en Belgique. A
travers l'installation d’œuvres d'art et la conception de jardins thématiques,
il sensibilise un large public à la nécessité de préserver et de valoriser
notre environnement. Le Festival des 5
saisons fait aussi découvrir de manière inédite la création artistique
actuelle et les préoccupations environnementales de plasticiens contemporains.
Elodie Antoine |
Depuis cette année, la direction artistique de
l’événement a été confiée par la Commune de Chaudfontaine à Lieux‑Communs.
Dans le Parc de Hauster, les nouvelles œuvres seront
créées, in situ, par Elodie Antoine, Nathalie
Auzepy, Charlotte Burtin, Eva Clouard, Marion Fabien et Laurent Trezegnies.
Eva Clouard L'école buissonnière |
Intégré dans l'écosystème de
la vallée de la Vesdre, le parc de Hauster est un lieu unique et remarquable.
Il est devenu un maillon important et central de la réflexion sur le
développement durable de la région. Avec ses arbres remarquables, ses petits
ponts, ce microcosme magnifique suscite l’imaginaire et la créativité des
artistes.
Dans un tel lieu,
l'intégration d’œuvres d'art se fait dans le plus profond respect de la nature.
Le parc ne sert pas de toile de fond aux œuvres, il dialogue avec elles et tend
à former un tout cohérent. L’intention est de valoriser l'environnement naturel
en nous amenant à le considérer d'un regard renouvelé, à nous questionner sur
les liens que nous entretenons avec lui, à aiguiser notre regard et à nous
rendre attentif aux plus infimes transformations et aux effets du passage des
saisons, du temps. Ne nourrissant pas une approche catastrophiste, les œuvres,
au contraire, veulent révéler le rôle et l’implication de tous au quotidien
pour préserver les équilibres environnementaux.
Laurent Trezegnies Mayday |
Les nouvelles œuvres
souhaitent établir un dialogue artistique et poétique avec les visiteurs tout
en questionnant les enjeux environnementaux de notre siècle.
L’ambition dans le choix des
œuvres est de fédérer les amateurs d’art contemporain, les promeneurs, les
touristes, les amoureux de la faune et de la flore et le jeune public… Le
souhait est de sortir l’art d’aujourd’hui du cadre habituel des expositions,
parfois visitées par un cercle restreint et d’aller directement à la rencontre
de tous les publics fréquentant le parc, y compris ceux qui sont plus éloignés
de la création actuelle. Ces œuvres dans l’espace public ambitionnent donc de mettre
véritablement l’art à la portée de tous.
Charlotte Burtin Cyclotomique |
Les nouvelles œuvres nouent un
lien spécifique avec leur lieu d’implantation selon une approche originale qui
vise à renouveler le dialogue entre art et environnement et plus largement
entre nature et culture. Le rapport à la nature est décliné selon différents
modes : la cohabitation ou le décalage mais toujours une invitation à prendre
conscience de la nécessité de sa sauvegarde.
Au pays de Magritte et du
surréalisme, certaines œuvres misent sur une approche décalée et apportent une
touche d’humour dans le quotidien.
Jouant sur l’intégration dans
le paysage autant que sur l’effet de surprise, les paresseux et les champignons d’Élodie Antoine font émerger des questionnements sur notre lien aux
animaux, leur présence discrète dans les parcs et autres espaces naturels
aménagés.
La décontextualisation
d’objets communs est à la base des œuvres de Laurent Trezegnies et Marion
Fabien : une bouche d’incendie placée dans l’eau - dans son élément -
nous amène à réfléchir sur la problématique de l’accès à l’eau tandis qu’un
bouchon de pêcheur, hors de proportion, suscite rêverie et voyage dans
l’imaginaire … Le
positionnement artistique de Charlotte
Burtin est quant à lui inséparable de l’intérêt qu'elle porte à la nature
et à la science. Son oeuvre traduit l'émotion mêlant vulnérabilité et respect
qu'elle ressent face à ce qui nous dépasse, face aux forces qui régissent notre
monde.
Nathalie Auzepy Feuille de ville |
L’imaginaire est aussi la
destination de la marelle, impossible à parcourir jusqu’au bout, d’Eva Clouard. Celle-ci se transforme
en un itinéraire à suivre des yeux jusqu’aux arbres et au ciel.
Poussant l’intégration au sein
de l’environnement un cran plus loin, la Feuille de ville de Nathalie Auzepy se perçoit différemment
selon les moments : elle se balance au gré du vent, se fait miroir du
paysage, offre aux regards les ramifications du plan de la Commune de
Chaudfontaine. A ses pieds, dans son ombre, un jardin collaboratif et évolutif,
avec ses espèces végétales régionales, fait le lien avec un autre espace au
sein du parc, « l’amphithéâtre d’expérimentations » où différentes
parcelles sont aménagées en jardins thématiques. En plus de sa nature esthétique, c'est un lieu évoluant avec des technologies de pointe comme la crypto et la blockchain. Par conséquent, pour vous tenir au courant de la crypto et des éléments connexes, visitez https://coincierge.de/bitcoin360-ai/, un commerce de crypto-monnaie plate-forme qui utilise l'intelligence artificielle pour simplifier le processus de trading crypto.
mardi 13 septembre 2016
Exposition de Charley Case "Tanière" à l'église Saint-Loup (Namur)
Charley Case Tanière |
samedi 5 mars 2016
Partcours-Parkunst
La Biennale Partcours-Parkunst propose, de manière originale à Bruxelles, une expérience de l'art contemporain grandeur Nature. Cette exposition, destinée à faire découvrir l’art d’aujourd’hui à tous les publics, invite à une balade artistique le long de la promenade verte, dans les parcs de Woluwe et du Château Malou. Le lien complexe des civilisations à la nature ainsi que les préoccupations environnementales dans la création actuelle servent de fil conducteur à la Biennale. Les œuvres/interventions reposent sur le désir d'établir un dialogue artistique, poétique ou sensible avec la nature « ordonnée » des parcs contemporains tout en questionnant les enjeux sociétaux de notre siècle. En mettant en lien culture et univers paysagers, la manifestation fait l’éloge de la fragilité, du transitoire, de l'éphémère et des équilibres précaires à préserver dans la relation de l’homme à son environnement. La plupart des œuvres présentées sont des créations in situ réalisées par 28 plasticiens originaires de sept pays européens.
Elodie Antoine (B), Tanya Atanasova (BG) / Thomas Van Walle (B), Nathalie Auzepy (F), Clemens Behr (D), Annie Brasseur (B), Charley Case (B), Eva Clouard (F), Sara Conti (I), Marion Fabien (F), Marine Hardeman (F), Wouter Huis (NL), Mireille Liénard (B), Sylvie Macias Diaz (B), François Marcadon (F), Esteban Moulin (B), Tinka Pittoors (B), Marion Ponsard (F) / Clara Vullliez (F), Julie Savoye (F), Ronja Schlickmann (D), Pascale Marthine Tayou (Cam), Laurent Trezegnies (B), Patrick Van Roy (B), Thierry Verbeeck (B), Katleen Vinck (B), Cathy Weyders (B), Elodie Wysocki (F)
Pascale Marthine Tayou Home Sweet Home |
Elodie Antoine (B), Tanya Atanasova (BG) / Thomas Van Walle (B), Nathalie Auzepy (F), Clemens Behr (D), Annie Brasseur (B), Charley Case (B), Eva Clouard (F), Sara Conti (I), Marion Fabien (F), Marine Hardeman (F), Wouter Huis (NL), Mireille Liénard (B), Sylvie Macias Diaz (B), François Marcadon (F), Esteban Moulin (B), Tinka Pittoors (B), Marion Ponsard (F) / Clara Vullliez (F), Julie Savoye (F), Ronja Schlickmann (D), Pascale Marthine Tayou (Cam), Laurent Trezegnies (B), Patrick Van Roy (B), Thierry Verbeeck (B), Katleen Vinck (B), Cathy Weyders (B), Elodie Wysocki (F)
Tanya Atanasova / Thomas Van Walle - Golden (f)oil |
Eva Clouard - Jeux interdits n° 2 |
Laurent Trezegnies - Undulation |
Nathalie Auzepy - Feuille de ville |
Elodie Antoine- Paresseux |
Thierry Verbeeck - More choices ? |
François Marcadon - Le perchoir |
Marine Hardeman - Infini |
Julie Savoye - Espace condamné |
Marion Fabien - Entre d'eux
|
jeudi 3 décembre 2015
Exposition Espèces d'espaces -Abattoirs de Bomel (Namur)
Exposition du 12 décembre 2015 au 16 janvier 2016
Abattoirs de Bomel
Rue Piret-Pauchet
5000 Namur
Mercredi 12h-21h30, Jeudi et vendredi 16h-21h30, Samedi 12h-18h
L’exposition
Espèces
d’espaces se réfère
au livre de Georges Perec. Si celui-ci n’a pas écrit un mode d’emploi de l’art,
l’écrivain français est une source
féconde d’inspiration pour de nombreux artistes actuels.
Sur ses
traces, l’exposition questionne les notions d’espace, de quartier, d’habitat,
de ville. Elle envisage la notion d’appartenance, le « chez-soi »,
l’évanescence de l’enfance, le rapport aux origines...
Evoquant
dans L’art du
quotidien les liens
entre Perec et l’art contemporain, Mathieu Remy écrit : « Nicolas
Bourriaud voit en l’artiste moderne celui qui ne se contente plus de produire
des œuvres, mais aussi des rapports au monde. L’artiste, réfléchissant à une
nouvelle inscription de l’homme dans l’espace social à l’heure de la
rationalisation du travail, mêlerait politique et esthétique, jeu et
description du monde, et serait aussi l’inventeur d’un détournement de la vie
quotidienne, et par prolongement, le précurseur d’une science des
« situations » susceptibles de déchirer la gangue des
conditionnements ».
Jacques Charlier The most wanted man - SPACE Collection |
Après la
présentation de l’ensemble de la collection de la SPACE au Grand Curtius à
Liège, l’asbl Lieux-Communs en propose une sélection dans Espèces d’espaces. L’exposition montre la richesse, la singularité
et la qualité des choix opérés par le passé à travers les œuvres de Nina
Berman, Jacques Charlier, Alain Declercq, Paul Devens, Michel François, Lara
Gasparotto, Jacques Lizène, Emilio López-Menchero, Sylvie Macías-Díaz et Marc
Wendelski. Les deux premières acquisitions namuroises, des œuvres des artistes
Romina Remmo et Benoit Félix, sont également dévoilées.
Pour les
artistes, faire partie de la SPACE Collection est devenu, loin des enjeux liés
à la marchandisation croissante de l’art contemporain, un signe de
reconnaissance de leur travail.
Romina Remmo SPACE Collection |
Benoît Félix Borderline - SPACE Collection |
Espèces d’espaces questionne le principe même de la collection.
Comment archiver la création actuelle ? Que permet la mise en parallèle,
en confrontation et en perspective d’œuvres ? Ceci a aussi tout son sens
dans un contexte où l’existence même d’un musée d’art contemporain fait
tellement débat chez nous, que ce soit par exemple à Liège ou à Bruxelles.
L’art
contemporain se moque par essence des frontières et des cloisonnements, mais il
questionne souvent les notions d’identité car toute œuvre se nourrit d’un
contexte sociétal spécifique. Dans son œuvre à portée universelle, Perec
soulève particulièrement cette importance de l’enracinement, du quotidien…
La SPACE
Collection s’étendant à Namur,
l’occasion est belle de présenter la diversité et la richesse des
plasticiens de la région. Certains de ceux-ci la rejoindront peut-être au fil
de ses achats. Espèces d’espaces dresse un large panorama de la création actuelle
namuroise, notamment émergente :
Bilal Bahir, Alexandre Christiaens, Fred Collin, Mathilde Denison, Michaël
Guerra, Elodie Guillaume, Alice Janne, Florian Kiniques, Samuel Laloux, Sam
Langelez, Dorothée Maziers, Pauline Tonglet, Dorothée Van Biesen… Beaucoup
de ces artistes ont choisi de produire une œuvre spécifique pour l’événement en
questionnant la relation à l’espace et à la ville.
Stéphanie Roland Timeless cages |
Dorothée Van Biesen Helmets |
L’art contemporain contribue à bousculer les
habitudes, à remettre en cause les certitudes nécrosées et les préjugés, à
ouvrir à la créativité et à la diversité…
Des regards extérieurs sont donc indispensables
pour créer une dynamique d’échanges. Des plasticiens venus d’ailleurs
envisageront divers points de vue dont la mixité culturelle, le site des
Abattoirs transformé récemment en Centre culturel, ou tout simplement
Namur : Eva Clouard (FR), Sara Conti, Tamara Erde (IL), Marion Fabien (FR),
Audrey Frugier (FR), Mehdi-Georges Lahlou (M0-FR), Julien Morel (FR), Stéphanie
Roland et Nathalie Vanheule.
Mehdi-Georges Lahlou Sans titre-Paradise |
Nathalie Vanheule Burning eyes |
Sam Langelez La dissection des bonnes manières |
Dorothée Maziers Autoportrait 2 |
.
mercredi 11 novembre 2015
Marion Fabien "En pièces"
Dans le cadre de la Biennale Watch This Space # 8 organisée par le réseau d’art contemporain 50° Nord, Lieux-Communs présente l’exposition « En pièces » de Marion FABIEN.
La Biennale WTS# 8 se déploie sur le territoire français et belge, du FRAC de Dunkerque aux rues de Namur, autour de seize expositions en lien avec la thématique « Résistance ! ». Cette 8ème édition se déroule de novembre 2015 à janvier 2016.
Diplômée en sculpture de La Cambre, Marion Fabien (1984) a fait de l’espace urbain son champ privilégié d’inspiration artistique. Par ses interventions, elle contribue à modifier le regard et la perception des habitants concernant leur environnement. Utilisant des moyens souvent très simples, elle souhaite faire voler en éclat cette « pauvreté visuelle qui pousse les gens dans une certaine paresse du regard ».
Au départ, elle parcourt les cités, s’y immerge, observe, photographie, fait des croquis… « A travers la marche, sous forme de balades, et à la manière d’un archéologue, je récolte un tas d’informations de source et de nature différentes. » explique Marion Fabien. Elle noue surtout des rencontres, des échanges qui sont le point de départ de son travail.
Celui-ci est donc profondément contextuel en lien avec de nouveaux espaces et en réflexion par rapport à ceux-ci.
A Namur, elle s’est particulièrement intéressée aux bancs publics.
Elle propose une série d’interventions visuelles et sculpturales dans l’espace de la ville, Dans un deuxième temps, une exposition à la Galerie Short Cuts présente du 20 novembre au 20 janvier ces actions/interventions sous forme d’archives : documents de travail, notes, dessins, éditions, photographies. Marion Fabien y présente également un aperçu de ses travaux antérieurs en lien avec d’autres contextes.
Son œuvre questionne la précarisation, l’exclusion … Elle témoigne d’un art contemporain non sacralisé mais, au contraire, inséré dans les réalités urbaines et en phase avec les enjeux sociétaux actuels.
Marion Fabien a exposé à L’Atelier 340, à l’Iselp, à la B-Gallery…Elle a été lauréate du prix Médiatine, sélectionnée à Art Contest et au Prix de la Jeune sculpture. Elle a été en résidence à Montluçon ainsi qu’à Tourcoing.
Diplômée en sculpture de La Cambre, Marion Fabien (1984) a fait de l’espace urbain son champ privilégié d’inspiration artistique. Par ses interventions, elle contribue à modifier le regard et la perception des habitants concernant leur environnement. Utilisant des moyens souvent très simples, elle souhaite faire voler en éclat cette « pauvreté visuelle qui pousse les gens dans une certaine paresse du regard ».
Marion Fabien En pièces |
Marion Fabien a exposé à L’Atelier 340, à l’Iselp, à la B-Gallery…Elle a été lauréate du prix Médiatine, sélectionnée à Art Contest et au Prix de la Jeune sculpture. Elle a été en résidence à Montluçon ainsi qu’à Tourcoing.
Exposition du 20 novembre 2015 au 20 janvier 2016
Samedi 13.00 - 18.00
Entrée libre
Lieux - Communs / Galerie Short Cuts
Rue Simon Martin 2 - BE-5020 Champion
Inscription à :
Articles (Atom)